Carnet de route: Dole/Nîmes/Béziers.

[Pazi]

Levée de bonne heure,Pazi passa immediatement au relais esperant que l'accord du parlement helvete serait arrivé. Aucun message ne l'y attendait. Contrariée , elle se dirigea vers les ecuries doloises en réfléchissant. Avec Slicer ou seule, elle n'aurait pas hésiter a foncer , mais là..pouvaient ils prendre de le risque d'occasionner des soucis voire des blessures graves a leurs compagnons de route. Elle savait Criss très anxieuse à ce sujet.
La situation etait délicate: envoyer un nouveau courrier en confédération helvétique risquerait de se voir essuyer un refus catégorique, passer mine de rien n'etait pas moins dangereux..Si une armée etait presente a Geneve..
A l'approche des écuries, elle inspira et prit un air décontracté, inutile d'inquiéter les membres du groupe.
Elle salua Faustynn, fit connaissance avec Ckurtis, embrassa Criss et enlaça Slicer.

Je vais chercher Ebasse. Quinlan n'est pas encore là?

Heureuse de retrouver de retrouver son cheval, elle passa de longues minutes a lui parler et le caresser. Prêt, elle le tira vers l'exterieur.

Voilà, on rentre a la maison, tu vas pouvoir galoper mon grand...

Elle rejoignit les autres et verifia la monture de Ckurtis qui n'avait pas l'habitude de monter.

[Faustynn]

Faustynn s’était couchée très tard la veille. Voire même très tard ce matin, car probablement le clocher avait-il déjà sonné minuit lorsqu’elle avait rejoint sa couche. Ce n’était pas très sérieux alors qu’elle partait le lendemain pour plusieurs jours de périples, mais une bonne grasse matinée lui éviterait probablement tout soucis de fatigue.

Le soleil était presque à son zénith lorsqu’elle se leva. Elle voulut ne penser à rien, mais fatalement, l’idée que c’était son dernier réveil dolois vint la titiller. Faustynn la chassa d’un geste mental désinvolte. La majorité de ses paquetages étaient déjà prêts. Elle n’avait jamais possédé grand-chose ; ayant acquis cette petite maison déjà garnie, elle n’accordait aucune importance aux meubles.

Après une toilette complète au savon noir et à l’eau de pluie récupérée dans un tonneau, et s’être habillée, elle s’occupa de Lina. Sa robe grise avait pris la poussière de l’été dans sa petite arrière cour, et l’animal étouffait, maintenant qu’il ne pouvait plus aller brouter dans les alentours de son champ de maïs. Faustynn lui offrit de grandes giclées d’eau –pour son grand plaisir, la brossa, la bichonna, et lorsqu’il lui sembla que Lina avait repris du poil de la bête, l’harnacha des paquetages. Fin prête, elle se rendit là où l’escorte devait être à présent. Son ânesse ragaillardie la suivait docilement. Arrivée à bon port, la voyageuse salua ceux déjà présents, et balaya du regard les chevaux préparés à leur intention. Pazienza semblait d’excellente humeur, et Faustynn affichait une nonchalance sereine.

Je ne sais rien de ce que fait Quinlan, il faudrait plutôt demander à Criss. Je vous présente Lina, ma fidèle compagne depuis la Lorraine, il y a presque six mois maintenant. Elle ne porte presque rien, donc si vous voulez vous déchargez un peu sur elle…

Et Lina, placide, semblait trouver le pavé très intéressant. Sa maîtresse lui accorda une gratouille entre les deux oreilles, songeuse derrière son sourire détaché.

Laquelle de ces montures sera la mienne ?demanda-t-elle en levant les yeux sur les chevaux.

[slicer59]

Slicer était présent la depuis fort longtemps, il avait déjà tout préparé la veille du départ. Il avait une lourde responsabilité, il devait tous les mener à bon port.
Quand sa douce vint l'enlacer, il l'a regarda droit dans les yeux, heureux. Enfin ils rentraient chez eux, où un baptême et un mariage les attendaient.
Il lui répondit : Quinlan vient d'arriver chaton !
Et voila que notre escortée arrivait.
Bonjour Dame Faustynn, prenez donc cet hongre gris, il est très doux apparemment. Et j'ai gardé le plus docile pour Messire Ckurtis.

Ca y est, on partait. Criss était la aussi, il ne manquait plus personne.
Après avoir fait un dernier tour, vérifier que tout le monde était prêt, vérifier les denrées et l'itinéraire, il se prépara à partir.

Attend ! entendit-il. Il se retourna, et vit que sa chère Pazienza lisait un parchemin fraichement reçu.
C'est l'autorisation que nous attendions, chaton ?
Oui, lui répondit-elle. Ouf un autre soulagement, nous allions pouvoir traverser l'Helvétie sans souci.
Maintenant que tout était paré, slicer donna l’ordre de mise en route. Après avoir parcouru une vingtaine de lieues, ils traversèrent Poligny, pour finalement faire une halte, et préparer le campement pour la nuit à 10 lieues au sud-est de cette petite ville.
La nuit fut douce et calme. Le temps est avec nous, se dit-il, il fait beau et chaud. Peut-être même trop chaud. Tout le monde était la, prêt à repartir. Il alla voir sa promise, l’enlaçant tendrement, toujours aussi heureux.
Tout le monde est prêt ? lança-t-il à la cantonade. Pensez-tous à me suivre !
Toujours le même refrain, mais il avait entendu tellement de choses sur des gens qui se perdent en route. Deux précautions valent mieux qu’une …

[Pazi]

Un courrier a envoyer en Savoie ,l'avait retenue apres les autres aupres du feu presque eteint. Elle y etait restee longtemps apres avoir posé sa plume.
Derniere nuit en FC avant longtemps, peut etre toujours. Le sommeil n'etant pas au rendez vous, l'habitude des tours de garde, Pazi sortit sa dague de sa botte et laissa son esprit vagabonder; elle aurait bien le temps de dormir quelques heures a Geneve.


Va falloir t'y faire , ma fille.Tu changes de vie là.., dit elle tout bas en remuant les braises d'une brindille.
De longues heures de cogitations plus tard, l'esprit serein, Pazi s'etait endormie aupres de Slicer, veillant a ne pas le reveiller.
La minne heureuse de son fiancé l'avait reconfortée dans ces choix au reveil.
Ils reprirent la route vers Geneve, vers le laguedoc, vers des tas de choses

[Faustynn]

Ils avaient passé Poligny, avaient campés, et cheminaient vers Genève qu’ils atteindraient demain. Faustynn avait passé la majeure partie de la route à converser en selle avec Kurt. Elle essayait de reprendre un peu de son espagnol, heureuse du hasard qui la faisait voyager avec lui qui le parlait. Dans l’après-midi, néanmoins, elle avait reçu une lettre qui l’avait laissée un peu songeuse sur une lieue ou deux, après avoir renvoyé l’oiseau messager. C’était aussi l’heure la plus chaude, personne ne se formalisa guère qu’elle préfère garder sa salive. Bientôt, elle retrouva son sourire.

Lorsque les ombres commencèrent sérieusement à s’allonger, Slicer la tête du groupe, tout comme hier, déclara la halte. Chacun s’organisa pour monter le camp d’une nuit, puis l’on se retrouva autour du feu. Faustynn avait participé aux tâches communes, mais à l’heure où chacun discutait un peu avant d’aller rejoindre sa couche, elle était déjà à la sienne. Une plume à la main, assise un tailleur, la lettre reçue plus tôt sur ses genoux, un parchemin vierge –mais plus pour longtemps- qui la recouvrait partiellement.

Un peu plus tard, elle rejoint les autres autour du feu, les doigts de la main droite noircis d’encre. Elle ne savait pas écrire avec sincérité sans se tacher un tant soit peu. Plus tard encore, lorsque la fatigue commença à se faire sentir, Faustynn fut la première à rejoindre sa couche. Elle n’avait pas l’habitude de chevaucher, et elle refusait la posa amazone. Ce qui lui valait de belles courbatures dans les muscles des cuisses. Néanmoins, elle s’endormit vite, vers les rêves, vers ses songes qu’elle pouvait modeler à l’envi, qui la menaient en Suisse. Demain, Genève...

Proche comme jamais, pour les mois à venir, de la destination de ses songes. Et pourtant si loin.

[Pazi]

La matinée était déjà bien avancée quand le groupe atteignit le sommet de la colline surplombant Geneve. Le lac miroitait sous le soleil et nombre d'embarcations naviguaient lentement. La masses des chariots entrant et sortant des remparts prouvait l'intensité du commerce et la richesse de la ville.
Arrêtant quelques instants Ebasse, Pazi regarda les alentours.La nature avait repris le dessus, plus aucune trace des combats qui avaient faits rage ici quelques semaines plus tot. Juste ce vieil oriflamme en lambeaux toujours perché sur son mât, celui de Cassy, disparue aux premiers jours de la croisade. Pourquoi donc le laissaient ils là?
Revenant à la realité du moment, elle rattrapa ses compagnons et se plaça a leurs côtés.

Faustynn,faites avancer votre mule a votre hauteur, je passe devant. dit elle tout en avançant jusqu'à Slicer.
Ca va? Pas trop fatigué? On va couper par les champs, tous ces commerçants vont nous ralentir et je meurs de faim. On va descende jusqu'au lac, il s'y trouve une auberge tres sympathique ou les chevaux seront bien soignés et où Dédé fait une longeole aux lentilles a tomber raide. Impensable de passer a Geneve sans gouter a ça. Ca te convient? Et apres, une petite sieste au bord de l'eau?

[Faustynn]

Genève ne lui avait pas laissé le souvenir qu’elle espérait lorsqu’elle avait prévu de la mettre sur son itinéraire. Qu’importe. Elle s’était tout de même bien amusée, se convainquait-elle alors qu’il lui restait pourtant quelque chose en travers de la gorge. Elle garda le silence pendant la majorité de la chevauchée jusque Annecy. La tête trop pleine de souvenirs et d’affabulations.

Et puis, elle repensait au ciel de la nuit dernière. Ce présage mauvais, bon, après tout, il n’avait que le pouvoir qu’on lui accordait. Vint la nuit, trop courte à son goût. Ses tribulations de tavernes l’avaient mentalement épuisée. Le réveil, de nouveau la route.

Kurt jouait un peu, cela agaçait Faustynn qui aurait voulu un peu de silence, et juste le bruit étouffés des pataclops sur la piste, des discussions ténues de Pazienza, Criss et leurs compagnons respectifs. Lorsqu’on s’arrêta à Annecy, Faustynn entra dans la première taverne après s’être libérée de sa monture et de ses affaires, en espérant se distraire. En vain. Vers le milieu de l’après-midi, elle déclara qu’elle ne tirerait rien de bon des tavernes d’ici, et s’en alla dans les alentours de la ville marcher un peu. Cela lui manquait beaucoup alors qu’elle passait une partie de ses journées en selle, l’autre partie assise en taverne, ou au campement.

Ce soir, elle rejoindrait le groupe, cap sur Chambéry. Si elle retrouvait la personne pour laquelle elle avait voulut s’arrêter là, nul doute que ses deux mauvaises journées s’effaceraient vite de son esprit. En théorie, ils devaient aussi accueillir une personne de plus dans le groupe. Un moratois.

Murten... Oui, elle avait vraiment besoin d'oublier ces deux derniers jours, et d'autres choses encore.

[Criss]

De bon matin Criss avait déjà tout préparer pour prendre la route...le voyage avait était agréable jusqu'a présent que demander de plus que voir du pays avec l'homme qu'on aime et ces amis.

Même si elle n'était pas très enthousiaste à traverser l'helvétie puis la Savoie...Deux duché qui d'aprés ce qu'elle avait entendu.

Enfin en même temps c'étais la possibilité de passer du temps avec sa chère amie Pazi et son fiancé qui avait invité Quinlan et elle chez eux!

Faustynn était du voyage c'était la première fois qu'elle voyageait ensemble.

Criss suivi Faustynn dans la taverne une ou deux bonne bières a tous ne pourront pas faire de mal...Profiter aussi de ce retrouver dans les bras de Quinlan...Oui c'était plaissant de voyager l'un à côté de l'autre mais les tavernes permettaient de pouvoir être dans les bras de l'homme qu'elle aime.

Une tournée pour nous remettre d'aplomb?

Criss sourit sachant très bien que personne n'allait refuser

Ce voyage ce passe bien pour le moment...Tout le monde a rejoind le groupe ou nous attendons encore une personne?

Ma Pazi je me réjouie d'arrivée dans ton village pour que tu me montres ce magnifique village.

[slicer59]

Cette petite sieste au bord de l'eau fût fort revigorante. Mais toutes les bonnes choses ont un fin, il fallait repartir. Mais ce départ était un pas de plus qui nous rapprochaient de notre destination finale, la maison ...
Baptême, mariage, marmailles. Telles étaient les pensées de slicer, cheminant en tête de la lance, avec la lourde responsabilité de ne pas se perdre, d'arriver à bon port. Prochaines étapes : Annecy, Chambéry, Uzés, Nimes puis enfin Béziers.

A Annecy, le Sieur Melfor rejoint notre lance. Tout s'est déroulé à merveille. Aucun souci à Annecy, ni à Chambéry. Demain nous serons à Uzés, et après demain, à Nimes. Dame Faustynn arrivera à destination, sans encombres. Et nous serons à deux jours de Béziers. Une nouvelle vie, sédentaire. Va-t-elle le supporter ? L'avenir nous le dira, et c'est une autre histoire.

[Faustynn]

La veille, Faustynn avait accompagné Criss dans une taverne de Chambéry. Quelques tournées, sa bonne humeur innée, son sourire amical sans feinte avaient quelque peu remis la voyageuse sur pied. En contre-partie, elle lui avait raconté sa toute première entrée dans cette belle capitale.

C’était il y a quelques mois, je devais d’abord voyager seule, et finalement, une vagabonde, Cucubus –tu vois qui c’est ? Une doloise au teint d’albâtre, très pondérée, qui respire la sagesse et inspire le respect. Oui, non ? Qu’importe- je disais donc, Cucubus, a voulu m’accompagner pour raisons X, Y ou Z. On est parties de Dole ensembles, on a descendu Poligny, St Claude, Genève… Où je me suis retrouvée arrêtée. Je ne sais même plus pourquoi, mais bref, Cucubus ne me voyant pas au point de rendez-vous pour aller sur Annecy, a continué seule la route. Je ne sais même plus pourquoi j’avais été empêchée.
Ce dont je me souviens bien, c’est que le lendemain, cherchant escorte sur la place publique, un beau messire brun –et aux manières trop exagérées pour être honnête- m’a dit qu’il prévoyait de rejoindre un cousin sur Belley, qu’il passerait donc par Annecy et Chambéry. Moi, bonne pomme, je dis pas de problèmes. Il s’appelait Atale. J’ai eu deux jours de route à ses côtés pour me rendre compte de sa prodigalité en œillades et en baise main. Et pot de colle avec ça ! Ce type, se croyait raffinée et gentleman, mais catégorie « conteur fleurette mielleux », on fait difficilement mieux. Deux jours de tortures et de tentatives polies pour lui faire comprendre qu’il ne m‘intéressait pas du tout. Je me demande encore comme j’ai fait pour ne pas l'égorger en chemin, à y songer…
Et puis enfin, Chambéry, la douane, la délivrance. De ce jour, j’adore cette ville, en entrant aujourd’hui dans ces murs, je me suis rappelée ma soudaine légèreté éprouvée lorsque ce gusse s’est détaché de moi. A regrets, disait-il ; moi j’étais aux anges. J’ai retrouvé Cucubus, figure-toi qu’elle s’était aussi dégotée malgré elle un type du même genre entre-temps. Bref, on a bien rit toutes les deux… Et maintenant, je ris avec toi. J'avoue que je préfère largement mon escorte actuelle à celle d'il y a quelques mois !

Et durant son discours, elle était passée tour à tour du dégoût, du regard nostalgique à l'autodérision et au rire, masquant un léger voile de tristesse dans sa voix. Faustynn leva son verre, « aux voyages », et avala une grande gorgée pour se faire oublier que Cucubus ne donnait plus de nouvelles. Encore rattrapée par sa maladie peut-être. Qu’il y avait un chambérien qu’elle avait voulu revoir, qu’elle ne reverrait plus jamais, ou peut-être dans l’au-delà. Qu’enfin s’ensuivaient deux jours de route sans taverne et sans boisson, ce qu’elle fit remarquer haut et fort, et on consola cette amère idée d’une tournée générale. A Criss qui demandait si l’on attendait encore quelqu’un.

Le groupe est au complet, puisque le dernier sur la liste est messire Melfor, qui nous a rejoint hier à Annecy. Pourvu que la suite du voyage se déroule sans plus de soucis que jusqu’à présent...

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...

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Le soir même, ils reprenaient la route. Mais le temps était orageux, et après que l’air se soit alourdi et que la chaleur soit devenue insupportable, le plafond noir nuageux creva sur la troupe de voyageurs. Il fallait arrêter de cheminée pour la soirée, et trouva un endroit sec pour établir un campement qui promettait d’être très inconfortable sous les trombes d’eau. Fort heureusement, on dégotta sur la route un relais auberge. Plus ou moins bien famé, l’on y avait l’avantage d’être au sec. Et l’idée de chambres intimes pour les deux couples du voyage, selon Faustynn, devait leur être tentante. Pour couper court, elle proposa de prendre en charge tous les frais, et l'on y coucha pour la nuit.

[HRP : J’ai échangé un MP avec l’ouvreur du topic, il m’a donné son accord pour y participer. L’endroit semble être libre d’accès. Evidemment, on ne va peut-être pas débouler à cinq dessus, mais si une personne veut m’y rejoindre… Qu’elle me le dise et qu’on s’organise un truc sympa.]

[Criss]

Criss prenait plaisir à découvrir Faustynn, il est vrai qu'elle avait passer un peu de temps en taverne à Dole mais la jeune femme ne restait jamais vraiment longtemps en place...

Toute en écoutant, elle buvait sa choppe puis une autre profitant aussi d'être dans les bras de Quinlan.

Criss était heureuse de faire ce voyage même si il est vrai que des petits moment en tête avec son bien aimé n'était pas forcement facile...regardent Faustynn ensuite elle répondit à sa question.

Il me semble effectivement avoir croisée Cucubus une ou deux fois en taverne!

Mais il est vrai aussi qu'on a jamais le plaisir de faire connaissance toute deux!

Ma chère Faustynn il nous aura fallu ce voyage pour apprendre à mieux nous connaître étrange non?

Criss lui sourit et demanda encore une tournée

Je crois que la sa sera ma dernière choppe pour ce soir sinon je suis pas sur de pouvoir continué la route Elle rougit un peu

Donc nous reprenons bien la route ce soir...Houlà j'espère avoir les idées un peu moins embrouiller...Sifflote et regarde le plafond

Le temps avait passer tout le monde ce remis en route...Criss n'aimait pas vraiment les orages peu rassurée quand ils trouvèrent une auberge pour s'abriter elle ne cacha pas son soulagement...Elle pourrait surtout ce sentir protèger dans les bras de son aimé.

Elle souhaita la bonne nuit à tout le monde et alla ce reposer au calme et surtout protèger de cet orage

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